En cette fin d'automne, qui s'éternise dans la douceur, les dernières feuilles prennent leur temps de s'attarder. Bientôt elles s'élanceront pour leur unique vol jusqu'au sol, à moins qu'un coup de vent les y précipite sans délai.
Hier, dans le sous-bois teinté de lumière matinale, elles composaient avec les écorces des arbres voisins une infinité d'éphémères tableaux .
En vedette : érables du Japon et bouleaux