Je n'aurais su mieux l'écrire. Un texte bref, essentiel, limpide...
Et bien que ce thème de réflexion, autrefois majeur dans mon parcours existentiel, ne me concerne plus vraiment actuellement, je reconnais y rester sensible.
Ce texte a probablement déjà circulé sur Facebook mais comme j'ai su éviter, jusque-là, de me laisser happer par le redoutable et perfide système collecteur-monnayeur de données personnelles, je ne le découvre qu'aujourd'hui.
Et où l'ai-je donc découvert ? Sur Diaspora*, réseau social libre et indépendant. Une philosophie du partage qui convient beaucoup mieux que d'autres à ma vision des rapports sociaux. Et puis on n'est pas 2 milliards à s'y retrouver...