26 octobre 2010
Éphémère apothéose
Avec confiance, le regarder se teinter lentement. Avec patience, en observer le mûrissement. Avec constance, suivre la coloration.Et cependant à chaque fois en être surpris.Ébloui.
L'automne, saison des apothéoses éphémères
Parmi tant d'autres, un de mes préférés...(Érable japonais sous la pluie, 24 octobre 2010)
25 octobre 2010
Cadeau
Au soir d'une journée sombre, glaciale sous les bourrasques coupantes du nord.La percée du soleil à l'instant où il s'éteint derrière la colline. Ultime éclat, inespéré, fugace plaisir à saisir dans l'instant.Cadeau !
24 octobre 2010
La tentation du silence
Sur la route du monastère de la Grande Chartreuse
Une zone de silence
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.10 mai 2010
Androgyne ?
Après les fleurs mâles...(ici)
...voici les femelles...Elles deviendront les cônes que portera cet arbre en fin d'été.D'où l'origine du nom "conifère' ( = « qui porte des cônes »)(Épicea de Balfour)
09 mai 2010
Dites-le avec des fleurs
Un petit bouquet de fleurs...
... pour celle qui n'en a jamais vu...
... sur cet arbre dans son jardin.
(mais oui, même les conifères ont des fleurs ! Celles-ci sont des mâles)
03 mars 2010
Le vert et l'éthique
Ils ont été plantés là il y a peut-être vingt-cinq ou trente ans. Entre une route à grande circulation et un terrain de sport, en limite d'un grand parc paysager du 19eme siècle. Épais rideau cache-misère, sans âme, dont la fonction prime sur la qualité esthétique. Des arbrisseaux plantés bien régulièrement, pour apporter de la verdure. Celui qui a été en charge de concevoir cette tache de verdure, ou un autre qui s'est senti les compétences suffisantes pour cela, à proposé un végétal robuste et pas cher. Faisant appel à sa... [Lire la suite]10 janvier 2010
Antipodes
Tandis que je décline le noir et blanc en couleurs (ou l'inverse)...
... arpentant les routes immaculées de la blanche campagne...
... mon fils me nargue en m'envoyant des photos de son hiver été austral !
J'avoue que c'est tentant...
19 décembre 2009
Tu ne me dois rien
t...On enterre ce qui meurton garde les bons momentsj'ai eu quelquefois peurque tu m'oublies vraimenttu as sur mon humeurencore des effets gênants
Mais tu ne me dois rienj'ai eu un mal de chienà me faire à cette idéeà l'accepter enfinest-ce qu'au moins tu m'en s'rais gré?Chacun poursuit son cheminavec ce qu'on lui a donnémais toi tu ne me dois rien...
Stephan Eicher "Tu ne me dois rien"
Paroles providentiellement trouvées chez Sonia
Hier soir, avant la neige